Thème du jour : FASTER PUSSYCAT KILL KILL! - Des
filles qui en ont...
C'est l'ami Gwen qui m'a rappelé au bon souvenir de ce disque passé trop inaperçu à sa sortie. Il est pourtant de ceux qu'on réévalue à la hausse au fil du temps et des écoutes."The (girl?) power out" commence par une chanson ânonnée dans un français incompréhensible, et cette rythmique d'abord lointaine qui ne cesse de s'accélérer. On passe ensuite à un titre plus mélodique mais où la voix semble capable à tout moment de lâcher prise, de partir en vrille. "The Valleys" est au contraire un morceau quasi liturgique avec ce qui pourrait ressembler à des choeurs d'église. Dans la suite, on y entendra de l'espagnol, des guitares abrasives puis indolentes, des rythmes plus synthétiques mais toujours aussi syncopés. C'est Steve Albini à la production et ça s'entend. Dès que c'est rêche, que ça gratte un peu, il n'est jamais très loin. Electrelane, ce sont …
C'est l'ami Gwen qui m'a rappelé au bon souvenir de ce disque passé trop inaperçu à sa sortie. Il est pourtant de ceux qu'on réévalue à la hausse au fil du temps et des écoutes."The (girl?) power out" commence par une chanson ânonnée dans un français incompréhensible, et cette rythmique d'abord lointaine qui ne cesse de s'accélérer. On passe ensuite à un titre plus mélodique mais où la voix semble capable à tout moment de lâcher prise, de partir en vrille. "The Valleys" est au contraire un morceau quasi liturgique avec ce qui pourrait ressembler à des choeurs d'église. Dans la suite, on y entendra de l'espagnol, des guitares abrasives puis indolentes, des rythmes plus synthétiques mais toujours aussi syncopés. C'est Steve Albini à la production et ça s'entend. Dès que c'est rêche, que ça gratte un peu, il n'est jamais très loin. Electrelane, ce sont …