Deuxième album de la bande à Paul Weller, sorti comme le premier en 1977 et sans grand intérêt il faut bien l'avouer. Le premier avait encore le mérite de proposer un punk-rock proche du blues, efficace dans la lignée des Stones. "This Is The Modern World" est peu inspiré et essaie de lorgner un peu plus vers la pop, celle des Beatles ou plutôt des Kinks comme sur "Tonight At Noon", mais de manière maladroite et bancale. Les mélodies ne sont pas encore très tranchantes, ce qui n'arrange pas vraiment ma rétrospective sur le groupe qui débute, c'est vrai, par le moins bon. En 1977, les Jam sont donc bien loin de l'inspiration et du succès de groupes comme les Clash, les Sex Pistols et les Buzzcocks.
9 ans déjà. 9 ans depuis que nous avons côtoyé l'horreur. Si proche, cette fois. Le choc fut donc plus rude. Ce vendredi 13 novembre 2015 a laissé des traces indélébiles pour tous les amateurs de musique live. Pourtant, à la même date, cette année, le nombre de bons concerts à Paris était pléthorique, pour ne pas dire démentiel. Imaginez vous : il y avait le choix entre les irlandais de Fontaines DC, chouchous de la scène rock actuelle au Zénith, les revenants de Mercury Rev à la Maroquinerie, François and the Atlas Mountains, pour une relecture live de leur disque de 2014, " Piano Ombre " à la Philharmonie de Paris, les nouveaux venus de Tapir! Au Pop Up du Label, la troupe suisse de l'Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp à la Marbrerie et enfin Beak>, le groupe de Geoff Barrow, ancien batteur de Portishead. Et encore, je n'ai cité que les concerts intéressants que j'avais repéré. Je suis sûr qu'il y en avait d'autres... Mais pourquoi une telle...
oui pas aussi tranchant, inspiré et fougueux que le premier album, clairement un second disque un poil faiblard, mais ils vont vite se reprendre comme tu le soulignes :)
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