Le jour où j'ai écouté pour la première fois Fat Dog, j'ai pris direct un uppercut en pleine tronche. C'est l'effet que m'a fait " King of the Slugs ". Il m'a fallu un peu de temps pour m'en remettre, pas décider à remonter sur le ring pour prendre une nouvelle salve de coups. J'étais sonné. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la musique de ces anglais n'est pas de tout repos, ça bastonne sévère et l'écouter dès le réveil, c'est à jouer à quitte ou double, soit ça vous booste pour le restant de la journée, soit vous êtes immédiatement groggy, en état de passivité aggravée plusieurs heures durant. Si " Kings of the Slugs " restera comme un des plus réjouissants morceaux de 2024, nous faisant passer par tous les états ou presque, mais nous laissant au final particulièrement lessivé, qu'en est-il du reste de ce " WOOF ", premier aboiement en mode King Kong de Joe Love - ça ne s'invente pas ! -