Happy Birthdyear : Les
disques, c'est comme le vin, des années avec, des années sans... mais
que se passait-il l'année de votre naissance? (Un choix discographique
de cette année-là.)
Là-dessus, on peut dire que j'ai eu de la
chance. 1977 - Oui, à cause de Charlu, je suis démasqué. Pas si vieux qu'il en a l'air, le papa, hein ? Enfin, j'espère :) - : l'année de Star Wars, l'année de l'avènement du punk. Une
année à double chiffre, c'est forcément une bonne année, non ? En tout
cas, il y eut pléthore de chefs d'oeuvre musicaux. A commencer par ceux
du "maître", j'ai nommé Bowie. Celui qui met tous les blogueurs d'accord - on a tous en nous, quelque chose de beau...oui !.
Il suffit de voir l'effet qu'a produit sur le net, l'annonce de la
sortie d'un nouvel album, le 8 janvier dernier, jour de son 66ème
anniversaire. A l'époque, il n'était pas encore retranché dans une
maison dorée, à Los Angeles et surtout, il pétait la santé. Même si c'était dans une ville encore divisée, en voie de reconstruction, qu'il avait choisi alors de poser ses
valises : Berlin. Mais, il n'y était pas venu tout seul et avait pris soin de bien
s'entourer : Eno et Pop. Il en est ressorti deux disques "Low" et
"Heroes" pour David, deux autres pour Iggy "Lust For Life" et "The
Idiot", sans parler du magnifique "Before and After Science" de Brian,
sans doute le plus essentiel du lot. Mais, pourquoi Bowie plus qu'un
autre ? (il y avait aussi "Marquee Moon", le premier Talking Heads, l'inénarrable "Never mind the bollocks", etc). Parce que si 1977, c'est ma naissance, ma vraie, la biologique.
Bowie, c'est ma naissance, l'autre, liée à ma rencontre avec maman.
Une vie, un son et une vision en commun.
Album en écoute intégrale sur Deezer.
Viva Papa !
RépondreSupprimerCe choix, pour 1977, est parfait.
Les illusions des finissantes 60s et naissantes 70s n'ont plus court, le choc pétrolier est passé par là avec sa proverbiale crise (oui, déjà). Alors Low, froid, muré (wink wink), parfait.
Et merci.
Je connais pas très bien Bowie. J'aime bien Ziggy. Tu utilises la drop, pour me l'envoyer ? Sinon, c'est pas grave, je le trouverai bien.
RépondreSupprimerHello.
RépondreSupprimerCertes ce Bowie est très bon, certes je m'interdisais a-priori la réaction "hé, y avait tel ou tel disque aussi, qu'est vachement mieux!", mais quand même on parle de 77 là …
Non mais il est quand même bien ce disque, hein.
EWG
Finalement les d'jeuns n'ont pas si mauvais goût que ça !!!!!
RépondreSupprimerEh eh.. z'assurent les jeunots :D
RépondreSupprimerPascal va être content avec ce disque.. lire sa chronique fleuve sur la trilogie.
Toutes les légendes sortent de leur tanière aujourd'hui.. un fleuve de piliers ..
Et tant pis pour le copié/collé: Le boulot m'appelle, mais bien entendu, je reviens vers toi probablement demain me faire la lecture...
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas non plus ce Bowie là. Excellent! 77 j'aurais eu l'embarras du choix. The wire ou the Real Kids?
RépondreSupprimerPour ceux qui hésitent sur l'acquisition de cet album (et on se demande d'ailleurs quelle raison on pourrait bien trouver de ne pas se faire du bien)je recommande l'énorme génialissime article sur la trilogie berlinoise de Bowie par notre ami Pascal sur son blog lifesensationsinmusic. D'accord comme d'hab il vous faudra l'après midi pour tout lire, courrir chercher les albums et les écouter en relisant l'article ... mais quel pied. Oui j'écoutais déjà cela à 20 ans ...
RépondreSupprimerPour la dropbox, je vais voir ce que je peux faire ce soir.
RépondreSupprimerPeux pas pour l'instant, chuis au boulot :(
Pour ceux qui ont le temps en ces périodes de folie blogueuse voici un peu de lecture puisque certains en parlent avec une bonne pub :
RépondreSupprimerhttp://lifesensationsinmusic.blogspot.fr/2013/01/regles-de-trois-david-bowie-low-1977.html
Merci pour l'attention et bravo pour l'article, décidément, Bowie revient sur l'avant scène et on en cause.
Tant mieux.
Je m’apprêtais à donner ton lien .... Mais une deuxième couche
SupprimerAh, Bowie! Excellent choix!!
RépondreSupprimerEncore un qui a l'embarras du choix. Un Bowie de la trilogie Berlinoise, c'est propre, c'est net. Bravo
RépondreSupprimerExcellent choix, pour d'excellentes raisons. Pour info, un livre est sorti chez Camion Blanc sur la trilogie Bowie-Eno
RépondreSupprimerTome 3. Pochette Courbet (soft, j'avais pas d'autre idée)
RépondreSupprimerL'Origine (GJSF5-T3 Compil Birthdyear)
Effectivement PascalGeorges lance un grand sujet sur son blog, j'avais adoré son attaque de la trilogie Berlinoise même si j'étais légèrement en désaccord avec lui sur un album et sa place... donc c'est ici
RépondreSupprimerhttp://lifesensationsinmusic.blogspot.fr/2013/01/regles-de-trois-david-bowie-low-1977.html
Et marrant j'évoquais LOW chez Novaexpress à propos de son Philipp Glass, deux univers qui se sont un peu croisé comme des comètes ayant leurs propres destins..
Desole pour ce message perso...Vincent, je discutais l'autre soir avec les membres de Yo La Tengo...Ils viennent a Paris en mars je crois...Ils m'ont demande conseil pour des restos...Je suis parti depuis trop longtemps. je ne sais plus les bonnes adresses....Aurais tu des adresses aux alentour du Bataclan. XIeme je crois....Merci. Je leur enverrais ca par mail.
RépondreSupprimerGwen/Melody Supreme.
Hello Gwen. Pas de problème pour ce message perso, quand on peut aider :) Par contre, les restos, je ne suis pas non plus spécialiste, ayant de moins en moins l'occasion d'y aller avec deux marmots :-( Je me rappelle d'un resto où on avait nos habitudes aux beaux jours, c'était "Les Jardins du Marais" (qui fait aussi hôtel) au 74, rue Amelot. Ils proposent de la bonne cuisine française et aussi une terrasse à l'écart de la circulation très sympathique. Mais bon, en mars, c'est pas gagné :) Sinon, rue Oberkampf, il y a plein de restos et notamment l'Ober-Salé (au n°17) dont on m'a dit le plus grand bien, mais je n'ai pas encore pu tester.
RépondreSupprimerS'ils ont le mal du pays, il y a aussi l'American Bistrot (74 rue de la Folie Méricourt), là aussi connais pas personnellement, mais rien que la déco, ça donne envie, non ?
Sinon, à l'avenir, tu peux aussi passer par mon mail perso : lamusiquepapa@gmail.com.
D'ailleurs, si tu as l'adresse mail des Yo La Tengo, ça m'intéresse aussi ;) C'est bien simple, je n'écoute plus que ça en ce moment !
Merci! je vais faire passer...ainsi que ton adresse email...on sait jamais. En tout cas si jamais tu as l'occasion d'aller les voir...Le concert est en deux parties; une premiere plus acoustique, electrifiee aussi mais tres calme, avec des ballades...puis une seconde vraiment loud, tres rock avec plein de reprises (Fuggs, Trogs, Beach Boys). Enfin bon, on etait tous aux anges....Gwen/Melody Supreme.
RépondreSupprimerAh ce Bowie-là ! Fondamental. Tout a déjà été dit sur cet album-phare qui a façonné le son de la No (puis New) Wave, et toujours aussi belle et glacée cette deuxième face instrumentale qui a retourné jusqu'à Philip Glass ou les membres de Air.
RépondreSupprimerEt (souvenir), ce disque à la pochette orange marmelade trônait dans la discothèque 33 tours de ma soeur aînée, et maintenant dans la bibliothèque parentale.
Cette année 77, j'avais 9 ans...