Ce 28 mars 2025 a vu la sortie de quantités de beaux disques. Pas forcément indispensables, encore que, l’avenir nous dira peut-être le contraire, mais beaux et c’est déjà beaucoup. Après l’excellent Destroyer, voici l’impeccable Dean Wareham. Deux disques d’artistes classieux, dandys discrets à la culture pointue et soignée. "That's the Price of Loving Me" nous dit ce dernier, comme si ce n'était pas facile d'aimer ces douces et lumineuses mélopées. Bien sûr, depuis des années, Wareham écrit la même chanson. Mais j'avoue avoir du mal à m'en lasser. Il n'y a ici pas la même recherche sonore que sur les disques de Dan Bejar. Mais les arrangements n'en sont pas moins subtils et travaillés.
Matt Fishbeck, un autre dandy malheureusement encore plus confidentiel, (ancien?) ami d'un certain Ariel Pink, nous parle sur la page Bandcamp de ce nouvel album de son amour inconditionnel pour la musique de Dean Wareham, depuis ses débuts au sein de Galaxie 500 à cette dernière production. ""That’s the Price of Loving Me” amounts to a shot in the arm, to sweet, daylong succor. We’re not finished yet." nous résume-t-il en référence à la chanson du même nom ("We're not finished yet") de l'album. Je n'ai rien d'autre à ajouter. Cet album fera ma journée, ma semaine et qui sais-je, peut-être bien plus. Tant qu'il y a de la vie...
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