C'est grâce à l'ami de Merseyside que nous sommes allés en famille un dimanche après-midi à Bobino assister à un concert rock. Mais pas n'importe quel concert : celui-ci est indiqué à partir de 6 ans et il raconte en à peine plus d'une heure l'histoire du rock. Belle ambition portée par un groupe de musiciens aguerris, du blues des noirs américains dans les plantations du Sud à des titres plus récents comme le célèbre " Seven Nation Army " - même si le tube des White Stripes a plus de vingt ans au compteur - malheureusement transformé depuis plusieurs années en hymne pour stades, beuglé en choeur par des troupes de décérébrés. Le groupe maîtrise en tout cas ses classiques, de Elvis aux Beatles, en passant par Hendrix, AC/DC, Metallica, le Clash, etc. Tout est impeccablement joué. Bien sûr, il y a de nombreux oublis et certains difficilement pardonnables (Radiohead, Pink Floyd, Dylan ainsi que tout le rock indépendant au sens large). Le punk est aussi bala
Voilà un groupe de jeunes hommes plutôt malins, là où le style indie-pop n'est plus vraiment à la mode - l'a-t-il déjà été ? - , ils ont malgré tout réussi à faire parler d'eux. D'abord en figurant dans la bande son du célèbre jeu vidéo Fifa 2024, imparable tremplin pour se faire connaître, avec leur assez irrésistible " Going Kokomo ". Ensuite en reprenant " Murder on the dance floor " de Sophie Ellis Bextor sur les réseaux sociaux - au passage, je me suis rendu compte que la très belle anglaise n'était autre que la chanteuse de theaudience, groupe de britpop assez inoffensive comme la carrière de la demoiselle mais dont le titre " I know enough " fait encore son petit effet aujourd'hui. La vidéo connait un beau succès, suffisamment pour remettre au goût du jour le tube pop pour les plus jeunes générations - oui, le titre a déjà 23 ans. Le nom de Royel Otis vient simplement des prénoms des deux principaux membres du groupe australi