Difficile de faire le tri parmi l'impressionnante liste de sorties musicales de cette semaine, assurément une des plus riches de l'année. Pour preuve, allez donc jeter un oeil puis une oreille ici. Après Françoiz Breut et Tim Burgess, voici donc le troisième disque que j'ai subjectivement retenu. J'aurais pu préférer le premier album tant attendu de Lescop, nouveau clone de Daniel Darc et du jeune Etienne Daho. On retrouve d'ailleurs ce dernier pour un joli duo - "The Only One" - avec donc, cette fois, un dénommé Yan Wagner. Cette similitude dans les références montrent que les premiers opus de Lescop et Wagner se ressemblent, flirtent tous deux bon avec la new-wave et les années 80. Mais là où le premier sonne volontairement comme à l'époque, le franco-américain au nom de célèbre compositeur allemand est plus moderne dans l'approche. Il a d'ailleurs fait appel au très demandé Arnaud Rebotini à la production. Bon, ça ne révolutionne pas non plus le genre, mais c'est plutôt bien fichu, paré pour le dancefloor, comme on dit.
La palette d'influences est large et va de Kraftwerk à Depeche Mode en passant par John Maus en moins "foufou" ou le Bowie de la période berlinoise. Rien qu'un titre comme "Forty Eight Hours" est un évident tube en puissance. Le jeune homme sera bientôt en concert à Paris dans le cadre du festival Mama avec... Lescop - on y retrouvera aussi entre autres Françoiz Breut - puis à celui des Inrocks avec cette fois-ci Biolay. Entre jeunes gens bien "élevés", donc ...
La palette d'influences est large et va de Kraftwerk à Depeche Mode en passant par John Maus en moins "foufou" ou le Bowie de la période berlinoise. Rien qu'un titre comme "Forty Eight Hours" est un évident tube en puissance. Le jeune homme sera bientôt en concert à Paris dans le cadre du festival Mama avec... Lescop - on y retrouvera aussi entre autres Françoiz Breut - puis à celui des Inrocks avec cette fois-ci Biolay. Entre jeunes gens bien "élevés", donc ...
Clip de "Forty Eight Hours" :
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