Il y a un peu plus d'un an sortait le dernier disque des Limiñanas qui marquait la rencontre entre le couple du même nom originaire de Cabestany, petite ville des Pyrénées Orientales, Anton Newcombe producteur et leader du groupe de rock psychédélique américain The Brian Jonestown Massacre et enfin une chanteuse actrice française assez célèbre Emmanuelle Seigner, soeur de Mathilde, femme de Polanski. On pourrait rajouter quelques prestigieux invités de passage comme Bertrand Belin ou Peter Hook, l'ex-bassiste de Joy Division et New Order. Tout ce beau monde s'était réuni autour d'au moins une influence majeure commune : Lou Reed et le Velvet Underground. Comme le succès fut plutôt au rendez-vous et que le courant sembla passer naturellement entre eux, le disque d'Emmanuelle initialement prévu en solo se transforma en disque sous la bannière commune de "l'épée". Le style reste le même qu'avec l'étiquette Limiñanas. Ce sont les mêmes guitares, les mêmes influences - une chanson est carrément dédiée à "Lou", l'idole new-yorkaise.
Bertrand Belin, pourtant pas membre officiel du groupe de "mousquetaires" (ils sont déjà quatre), apporte encore sa contribution, toujours classe. Comme d'habitude. On change le nom mais pas la composition d'une équipe qui gagne. Voilà un album qui à défaut d'être "diabolique", marque l'apogée d'un indéniable savoir-faire de cette équipe à la fine lame, pas besoin de préciser que c'est loin être un coup d'épée dans l'eau.
Bertrand Belin, pourtant pas membre officiel du groupe de "mousquetaires" (ils sont déjà quatre), apporte encore sa contribution, toujours classe. Comme d'habitude. On change le nom mais pas la composition d'une équipe qui gagne. Voilà un album qui à défaut d'être "diabolique", marque l'apogée d'un indéniable savoir-faire de cette équipe à la fine lame, pas besoin de préciser que c'est loin être un coup d'épée dans l'eau.
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