On continue la revue de nos concerts de l'été, avec le lendemain de la belle soirée en compagnie de Django Django et Belle and Sebastian, nous passions une heure dans l'après-midi et au même endroit avec les locaux de Blues Aeroplanes. Cette fois-ci, c'était gratuit et le public était plus hétéroclite. Ce groupe-là, je ne le connais vraiment que depuis quelques temps, mois seulement. J'avais déjà écouté quelques titres qui ne m'avaient pas transporté plus que ça et puis il a fallu que je jette une oreille à "Jacket Hangs" et ses guitares pour que je change considérablement d'avis sur eux. Bien sûr, plus de trente ans plus tard, la formation menée par Gerard Langley a pris un sacré coup de vieux, tant physiquement que dans le son un peu daté. Ce qui les rend différents, comme les Happy Mondays en leur temps, c'est que le groupe dispose en la personne de Wojtek Dmochowski, d'un danseur attitré sur scène et que c'est lui qui officie depuis leurs débuts. Surpris de la chose, on se demandait avec maman, combien de temps le pauvre allait pouvoir tenir avec la chaleur étouffante qui régnait ce jour-là à Bristol. Car le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne se ménage pas, parcourant l'espace de long en large, derrière le groupe. Après avoir bien mouillé la chemise, il finira bien par la faire tomber. Les Blue Aeroplanes continuent de se produire et de sortir régulièrement des disques depuis le début des années 80. Si le succès est apparu pour eux au tournant du changement de décennie 80-90 - les élisant parmi les formations préférées de Michael Stipe, leader de R.E.M - il est rapidement disparu. Les membres ont souvent évolué, hormis pour les deux susnommés, et le batteur, John Langley, frère du chanteur. Les guitaristes sont aujourd'hui deux jeunes gens, un garçon, une fille qui pourraient être les enfants des plus âgés. La fille, Bec Jevons, chante même, histoire de casser la monotonie du phrasé de Richard Langley. Tout ça ne respire pas forcément l'originalité - je parle uniquement de la musique, hein, parce que le danseur, c'est autre chose ;-) - mais dégage encore une belle efficacité. Et puis, ils ont joué "Jacket Hangs" alors l'essentiel fut sauf. Ça valait donc le coup de faire un petit détour par le port pendant notre journée de visite de Bristol, la ville du trip-hop, de Banksy, de Sarah Records, des studios Aardman et donc des Blue Aeroplanes.
On continue la revue de nos concerts de l'été, avec le lendemain de la belle soirée en compagnie de Django Django et Belle and Sebastian, nous passions une heure dans l'après-midi et au même endroit avec les locaux de Blues Aeroplanes. Cette fois-ci, c'était gratuit et le public était plus hétéroclite. Ce groupe-là, je ne le connais vraiment que depuis quelques temps, mois seulement. J'avais déjà écouté quelques titres qui ne m'avaient pas transporté plus que ça et puis il a fallu que je jette une oreille à "Jacket Hangs" et ses guitares pour que je change considérablement d'avis sur eux. Bien sûr, plus de trente ans plus tard, la formation menée par Gerard Langley a pris un sacré coup de vieux, tant physiquement que dans le son un peu daté. Ce qui les rend différents, comme les Happy Mondays en leur temps, c'est que le groupe dispose en la personne de Wojtek Dmochowski, d'un danseur attitré sur scène et que c'est lui qui officie depuis leurs débuts. Surpris de la chose, on se demandait avec maman, combien de temps le pauvre allait pouvoir tenir avec la chaleur étouffante qui régnait ce jour-là à Bristol. Car le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne se ménage pas, parcourant l'espace de long en large, derrière le groupe. Après avoir bien mouillé la chemise, il finira bien par la faire tomber. Les Blue Aeroplanes continuent de se produire et de sortir régulièrement des disques depuis le début des années 80. Si le succès est apparu pour eux au tournant du changement de décennie 80-90 - les élisant parmi les formations préférées de Michael Stipe, leader de R.E.M - il est rapidement disparu. Les membres ont souvent évolué, hormis pour les deux susnommés, et le batteur, John Langley, frère du chanteur. Les guitaristes sont aujourd'hui deux jeunes gens, un garçon, une fille qui pourraient être les enfants des plus âgés. La fille, Bec Jevons, chante même, histoire de casser la monotonie du phrasé de Richard Langley. Tout ça ne respire pas forcément l'originalité - je parle uniquement de la musique, hein, parce que le danseur, c'est autre chose ;-) - mais dégage encore une belle efficacité. Et puis, ils ont joué "Jacket Hangs" alors l'essentiel fut sauf. Ça valait donc le coup de faire un petit détour par le port pendant notre journée de visite de Bristol, la ville du trip-hop, de Banksy, de Sarah Records, des studios Aardman et donc des Blue Aeroplanes.
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