Ça y est, me voilà plongé à nouveau dans l'actualité musicale avec mon disque de la semaine, que j'essaierai de poster chaque lundi. Ce qui me laisse un weekend pour choisir ma nouveauté préférée, sachant que les sorties musicales paraissent généralement le vendredi. Judah Warsky donc, pour commencer 2018. Il est français, chante tantôt en français, tantôt en anglais. Pour lui, ça n'a pas d'importance. Il a fait partie du groupe parisien Los Chicros, tout comme O, alias Olivier Marguerit. Son style est assez proche de ce dernier, comme de Flavien Berger avec lequel il a aussi déjà collaboré. C'est de la variété française - oui, c'est même lui qui revendique le terme de variété - de sortie de boîte. Comme du Laurent Voulzy, qu'il considère au passage comme un génie - rien que ça ! - sous ecstasy ou plus simplement sous alcool.
On pourrait aussi penser à du Philippe Katherine, sauf que Judah Warsky avoue écrire uniquement au premier degré. Le thème de cet "Avant/Après" est l'oubli, le souvenir, les rêves ("La voiture ivre") , ces idées un peu noires ("Apporte moi l'oubli") qui nous traversent l'esprit même après une soirée mémorable entre amis, lorsqu'enfin on se retrouve seul. Un disque pour ces moments solitaires, d'entre deux, où l'on est inactif, propices à l'introspection, à l'imaginaire. Ces moments que l'époque voudrait inutiles. Un disque utile, donc.
On pourrait aussi penser à du Philippe Katherine, sauf que Judah Warsky avoue écrire uniquement au premier degré. Le thème de cet "Avant/Après" est l'oubli, le souvenir, les rêves ("La voiture ivre") , ces idées un peu noires ("Apporte moi l'oubli") qui nous traversent l'esprit même après une soirée mémorable entre amis, lorsqu'enfin on se retrouve seul. Un disque pour ces moments solitaires, d'entre deux, où l'on est inactif, propices à l'introspection, à l'imaginaire. Ces moments que l'époque voudrait inutiles. Un disque utile, donc.
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