5/10
Il y a eu un tournant dans la carrière de Nick Cave : " Push The Sky Away " en 2013. Avant ce disque, le chanteur australien était cantonné aux seuls amateurs de rock indépendant ou presque. Il y a bien eu quelques percées commerciales comme celles du vénéneux et romantique " Where The Wild Roses Grow " en 1995 mais c'était surtout parce qu'il chantait en duo avec sa très iconique compatriote Kylie Minogue. En tout cas, rien qui ne suffise à le hisser au panthéon du rock, comme c'est le cas aujourd'hui. Sa musique fait aujourd'hui une quasi unanimité et surtout ses disques sont chroniqués partout, jusque dans les rares pages culture de Figaro Madame. Je ne saurais expliquer un tel phénomène. Il y a peut-être plusieurs raisons. J'en lâche ici quelques unes : la reprise dès l'an 2000 de son sublime " The Mercy Seat " par Johnny Cash, comme une validation en bonne et due forme de l'importance de sa carrière et de son influenc...
AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH
RépondreSupprimerVoix magnifique, perfection du songwriting... on parle du même album là?
(tu ne perdras pas un lecteur, c'est justement parce que nos avis divergent que je trouve ça intéressant à lire)
(PS: Vérification des mots "tessal" euh.. non mais je sors de la douche là ^^)
euh comprends pas le PS ... kesako ?
RépondreSupprimerSinon, merci de rester fidèle, ça fait toujours plaisir.
Autrement, j'hésite à aller à la route du rock en février prochain. La programmation du samedi me tente bien, mais il faut que j'écoute un peu plus Clues et Local Natives ...
pour laisser un commentaire on doit taper un mot (pour être sûr qu'on soit bien un humain)(si tu ne sais pas ce que c'est, c'est que ça doit être activé par défaut) et moi c'était "tessal" "t'es sale" voilà voilà...
RépondreSupprimerMoi aussi le samedi me tente, rien que pour Shearwater ça vaut le coup de toute façon. Mais pas sûr de pouvoir me libérer.
Je regarde de temps en temps votre blog et je dois dire que je suis souvent afflige, Je me permets d vous ecrire car la chute de vote "article" sur cet album m'a decide a un commentaire, la perte d'un lecteur donc. Mais quelle lecture? celle d'un avis sans ame, sans analyses particulieres, sans style, sans informations. Vous sitez souvent Pitchwork, au moins dans leurs articles qu'on soit d'accord ou pas a le merite de donner des arguments, d'informer, de documenter, de faire avancer les choses. Je ne comprends pas votre blog; pourquoi cette motivation a s'exprimer lorsqu'il n'y a que du vide a proposer; j'aime bien, ou j'aime pas, so what. Vous ne proposez rien, des poncifs, des critiques glanee un peu partout mal digerees que vous reservez avec mediocrite. Vos actualites, vos indispensables....mais pour peu que l'on s'interesse a cette musique, on connait tout ca. Je frequente plusieurs blogs, surtout ici aux US ou je reside; des passionnes de nouveautes dont personne ne parle, des accros aux 60's qui vous font decouvrir des pepites psych. incroyables, des chineurs de vinyl qui vous font prendre de couleurs au sons de melodies pop sunshine oubliees....Mais vous vous proposez quoi, un vague background compose des choix editoriaux des inrocks du temps du mensuel?....il faudrait peut etre un peu faire evoluer les choses; vous avez la un bel outil. Alors proposez nous quelque chose, moins d'obedience aux canons des gouts musicaux de ces 30 dernieres annees (que je partage souvent avec vous d'ailleurs), moins d'autosuffisance et de l'emploi du "je" et peut etre que vos lecteurs seront encore plus nombreux. Bien a vous.
RépondreSupprimerTout d'abord, merci pour ce commentaire bien argumenté et très intéressant. S'il n'est pas vraiment sympathique, il a le mérite d'être constructif. C'est gentil à vous de me proposer des améliorations possibles pour mon blog.
RépondreSupprimerJ'ai effectivement pour but de modifier quelques trucs d'ici à l'année prochaine : moins de chroniques de disques (une seule par semaine), des chroniques plus fouillées et le retour d'une chronique un peu plus humoristique en rapport
ou non avec l'actualité. Je ne parlerais donc plus de disques comme ici, que je n'apprécie pas. La qualité au détriment de la quantité donc ;-)
Quant à analyser la musique, je ne suis pas assez expert pour me permettre de le faire.
Ce blog est purement subjectif et rien d'autre et je le revendique. L'objectivité m'ennuie ... J'avoue aussi être assez feignant parfois, par manque de temps souvent. Ou tout simplement par manque d'inspiration. Mais les mots sont toujours les miens. Laissez-moi ma médiocrité. Quant à écouter et faire découvrir des choses moins connus et reconnus ?
Pourquoi pas ? Je vais y penser ... Des trucs français plutôt, glanés sur le net par exemple.
Mais encore une fois, si j'ai le temps de le faire ...
Tenez encore jusqu'à 2010 si le coeur vous en dit et peut-être - je l'espère - vous serez agréablement surpris.
Bien à vous et à bientôt, j'espère.
Il est vrai que mon petit texte etait un peu vachard, mais juste je crois et je vous suis gre de le prendre avec autant de philosophie. Je me suis reveille dans la nuit, impossible de me rendormir; c'est vous qui en avez subi les consequences. Mais pour rebondir sur ce que vous avez ecrit, je me permets d'etre encore en desacord avec vous sur deux points. Tout d'abord, la subjectivite/objectivite; votre propos est hors sujet; l'ojectivite n'existe pas dans l'expression ou les gouts de chacun, bien sur que ce que l'on affectionne est subjectif et pour le second point ce n'est surement pas la mediocrite le meilleur vehicule pour les faire partager. On parle d'ici ce qu'on cherie le plus, de l'ordre du passionnel non? ; alors quoi, il faut surtout au contraire etre a la hauteur de ces petites galettes qui se creusent si souvent les sillons justement pour proposer autre chose que cette chienlit pathetique de la majorite de nos medias (qui se complaise justement dans cette mediocrite). Bonne fin d'annees et bonnes belles ecritures passionnes.
RépondreSupprimerCe qui m'afflige personnellement ce sont les commentaires "vachards" se terminant par "bien à vous". Si la médiocrité n'est pas la bienvenue, on pourrait en dire autant des mondanités.
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