Ça faisait longtemps que je l'attendais celui-là, le premier disque de cette petite frappe de Niall Galvin, alias Only Real. Il y a eu les premiers singles enthousiasmants - notamment l'imparable et inusable "Get It On" malheureusement absent ici -, véritables bulles de fraîcheur et de désinvolture; un concert auquel j'ai eu la chance d'assister et qui me faisait déjà penser que la formule si habile soit-elle - mélange de hip-hop et de guitares carillonnantes, à la cool - ferait long feu. Et puis, l'annonce d'un premier vrai album et la crainte que l'engouement s'arrête net. Même si ce n'est pas la déception annoncée, on regrette cette trop longue attente, le soufflé et l'inspiration étant redescendus depuis les débuts tonitruants.
On a entre les oreilles une drôle de compilation, mariant quelques vieux titres emballants ("Backseat Kissers"), des nouvelles chansons plutôt réussies ("Can't Get Happy", "Yesterdays") et puis du remplissage un peu facile ("Blood Carpet"). Only Real restera sans doute un groupe de singles, pas adepte pour un sou de l'endurance. On ne voit pas quelle direction il pourrait prendre maintenant. C'est pourquoi sa carrière ne devrait pas durer très longtemps. En attendant, Niall Galvin se sera bien amusé et nous avec.
On a entre les oreilles une drôle de compilation, mariant quelques vieux titres emballants ("Backseat Kissers"), des nouvelles chansons plutôt réussies ("Can't Get Happy", "Yesterdays") et puis du remplissage un peu facile ("Blood Carpet"). Only Real restera sans doute un groupe de singles, pas adepte pour un sou de l'endurance. On ne voit pas quelle direction il pourrait prendre maintenant. C'est pourquoi sa carrière ne devrait pas durer très longtemps. En attendant, Niall Galvin se sera bien amusé et nous avec.
Clip de "Backseat Kissers" :
Clip de "Can't Get Happy" :
Clip de "Yesterdays" :
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