Et non, je n'ai pas oublié ma chronique honteuse du vendredi ! Par contre, il y a un truc que j'ai un peu arrêté en ce moment, c'est ma rétro sur Sonic Youth, mais je vous promets de m'y remettre d'ici peu. Alors quel est le thème retenu aujourd'hui ? Les voyages ! Et oui, en cette période estivale et cet été qui s'annonce encore une fois de plus assez pourri pour une grande partie de notre cher hexagone, rien de tel que de penser partir loin, très loin. Les voyages, c'est sans doute ce qui me manque le plus dans la paternité (avec aussi le fait d'aller à des concerts).
Bon, trève de bavardage et commençons cette chronique avec LA CHANSON évidente synonyme de voyages :
Desireless et sa coiffure improbable. Les années 80 resteront sans doute une malle aux trésors inépuisables en termes de mauvais goûts en tout genre.
Je me rappelle qu'Aznavour avait chanté cette chanson lors d'une émission servant à récolter des fonds pour les victimes du tsunami en Asie du Sud-Est de décembre 2004. A cette occasion, "la misère serait moins pénible au soleil" résonnait bizarrement.
Après ça, voici une petite sélection italienne, pays qui a souvent été présenté comme la destination préférée des amoureux :
Qui a des nouvelles de ce gentil groupe de pop made in France mené par le frère de la comédienne Isabelle Carré ?
Oui, je sais, c'est déjà la deuxième fois qu'il intervient dans cette chronique, Etienne. Mais comme je crois savoir qu'il a fait ses études à Rennes, il a une bonne excuse. (Pour information, je suis né à Rennes :-)
Ah, "les oeufs aux jambons, le pain grillé et le café chaud" : le bonheur selon Ringo et Sheila. On avait quand même des plaisirs simples en ce temps-là ;-)
Les States aussi ont beaucoup inspiré les chanteurs : l'Amérique comme but à atteindre, l'idéal de vie, le fameux "american dream".
Le côté un peu naïf et frais de Joe Dassin :
Le côté plus "rebelle et rock'n'roll" ("Toutes les nuits déconner" ?) de Jean-Louis Aubert, notre Mick Jagger national :
Cette envie d'Amérique semble bizarrement s'être un peu dissipée depuis l'administration Bush ...
Mais pas besoin de partir si loin nous dit le terrifiant Didier Barbelivien, et c'est maintenant l'heure de la vraie chanson honteuse du jour, celle qu'on voudrait bien oublier et qui ressort comme ça, sans crier gare :
Oui, je sais, c'est abominable ! Et je me dis que ça pourrait bien être le générique d'un célèbre journal télévisé. Celui de l'insupportable pourfendeur de la France d'en-bas, celle qui sent le rance et la basse fierté nationale, celle qui vote pour la racaille de Neuilly. Celui de l'inénarrable Jean-Pierre Pernaut évidemment. Tiens, il y a quelques années, le site Agoravox révélait ça sur l'animal en question. Je ne sais pas si c'est encore vrai, mais franchement ça me débecte.
Tiens, après ça, il va vraiment falloir que je reprenne des vacances ;-)
Sur ce, bon week-end à tous.
Bon, trève de bavardage et commençons cette chronique avec LA CHANSON évidente synonyme de voyages :
Desireless et sa coiffure improbable. Les années 80 resteront sans doute une malle aux trésors inépuisables en termes de mauvais goûts en tout genre.
Je me rappelle qu'Aznavour avait chanté cette chanson lors d'une émission servant à récolter des fonds pour les victimes du tsunami en Asie du Sud-Est de décembre 2004. A cette occasion, "la misère serait moins pénible au soleil" résonnait bizarrement.
Après ça, voici une petite sélection italienne, pays qui a souvent été présenté comme la destination préférée des amoureux :
Qui a des nouvelles de ce gentil groupe de pop made in France mené par le frère de la comédienne Isabelle Carré ?
Oui, je sais, c'est déjà la deuxième fois qu'il intervient dans cette chronique, Etienne. Mais comme je crois savoir qu'il a fait ses études à Rennes, il a une bonne excuse. (Pour information, je suis né à Rennes :-)
Ah, "les oeufs aux jambons, le pain grillé et le café chaud" : le bonheur selon Ringo et Sheila. On avait quand même des plaisirs simples en ce temps-là ;-)
Les States aussi ont beaucoup inspiré les chanteurs : l'Amérique comme but à atteindre, l'idéal de vie, le fameux "american dream".
Le côté un peu naïf et frais de Joe Dassin :
Le côté plus "rebelle et rock'n'roll" ("Toutes les nuits déconner" ?) de Jean-Louis Aubert, notre Mick Jagger national :
Cette envie d'Amérique semble bizarrement s'être un peu dissipée depuis l'administration Bush ...
Mais pas besoin de partir si loin nous dit le terrifiant Didier Barbelivien, et c'est maintenant l'heure de la vraie chanson honteuse du jour, celle qu'on voudrait bien oublier et qui ressort comme ça, sans crier gare :
Oui, je sais, c'est abominable ! Et je me dis que ça pourrait bien être le générique d'un célèbre journal télévisé. Celui de l'insupportable pourfendeur de la France d'en-bas, celle qui sent le rance et la basse fierté nationale, celle qui vote pour la racaille de Neuilly. Celui de l'inénarrable Jean-Pierre Pernaut évidemment. Tiens, il y a quelques années, le site Agoravox révélait ça sur l'animal en question. Je ne sais pas si c'est encore vrai, mais franchement ça me débecte.
Tiens, après ça, il va vraiment falloir que je reprenne des vacances ;-)
Sur ce, bon week-end à tous.
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