Et oui, j'en avais presqu'oublié Sonic Youth avec tous ces nouveaux disques qui sortent en ce moment ! Et j'en étais à leur troisième véritable disque, "EVOL" sorti en 1986. Le son du groupe devient ici de plus en plus mélodique, pour preuve les morceaux se font plus courts, plus compacts. Les Sonic Youth se cherchent encore, ils trouveront d'ailleurs définitivement la clé dès leur prochain album. "EVOL" est donc un disque d'entre deux : pas aussi flippant que "Bad Moon Rising", pas aussi efficace que "Sister". Pas le plus intéressant du groupe, donc. Reste quelques titres sympathiques comme le dernier, le bien nommé "Bubblegum". Voilà, désolé de ne pas être plus expansif sur ce disque, mais c'est bientôt le week-end, alors ... (oui, je sais, c'est une excuse à 2 balles). Désolé aussi pour les fans qui considèrent souvent "EVOL" comme un des meilleurs albums des jeunesses soniques. Mais pas moi. Pas après avoir écouté les deux suivants.
9 ans déjà. 9 ans depuis que nous avons côtoyé l'horreur. Si proche, cette fois. Le choc fut donc plus rude. Ce vendredi 13 novembre 2015 a laissé des traces indélébiles pour tous les amateurs de musique live. Pourtant, à la même date, cette année, le nombre de bons concerts à Paris était pléthorique, pour ne pas dire démentiel. Imaginez vous : il y avait le choix entre les irlandais de Fontaines DC, chouchous de la scène rock actuelle au Zénith, les revenants de Mercury Rev à la Maroquinerie, François and the Atlas Mountains, pour une relecture live de leur disque de 2014, " Piano Ombre " à la Philharmonie de Paris, les nouveaux venus de Tapir! Au Pop Up du Label, la troupe suisse de l'Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp à la Marbrerie et enfin Beak>, le groupe de Geoff Barrow, ancien batteur de Portishead. Et encore, je n'ai cité que les concerts intéressants que j'avais repéré. Je suis sûr qu'il y en avait d'autres... Mais pourquoi une telle...
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