Ils sont anglais, n'ont encore sortis que quelques singles, et aiment bien cultiver le mystère en arborant de drôles de foulards sur le visage, à la manière de cambrioleurs. On pourrait commencer à être un peu agacés par cette nouvelle mode à la Daft Punk (et Wu Lyf) de vouloir chanter masqués. Tout cela sent peut-être le plan marketing, mais ce "When O' When" est tellement bien qu'on leur pardonne volontiers. Vivement le 8 novembre prochain puisqu'ils feront la première partie du génial James Murphy au Zénith de Paris... (et que maman et moi, on y sera)
Après la parenthèse de l'iguane, revenons à de la douceur avec un nouvel album de l'écossais James Yorkston et son orchestre de seconde main suédois - The Second Hand Orchestra, c'est leur vrai nom - mené par Karl-Jonas Winqvist. Si je n'ai jamais parlé de leur musique ici, c'est sans doute parce qu'elle est trop discrète, pas assez moderne et que leurs albums devaient paraître alors que je donnais la priorité à d'autres sorties plus bruyantes dans tous les sens du terme. Je profite donc de l'accalmie du mois de janvier pour me rattraper. Cette fois-ci, avant de rentrer en studio avec leur orchestre, Yorkston et Winqvist se sont dit qu'il manquait quelque chose aux délicates chansons écrites par l'écossais. Une voix féminine. Et en Suède, quand on parle de douce voix mélodique, on pense évidemment à Nina Persson, l'ex-chanteuse des inoffensifs Cardigans dont on se souvient au moins pour les tubes " Lovefool " et " My favorite
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