Ils sont anglais, n'ont encore sortis que quelques singles, et aiment bien cultiver le mystère en arborant de drôles de foulards sur le visage, à la manière de cambrioleurs. On pourrait commencer à être un peu agacés par cette nouvelle mode à la Daft Punk (et Wu Lyf) de vouloir chanter masqués. Tout cela sent peut-être le plan marketing, mais ce "When O' When" est tellement bien qu'on leur pardonne volontiers. Vivement le 8 novembre prochain puisqu'ils feront la première partie du génial James Murphy au Zénith de Paris... (et que maman et moi, on y sera)
9 ans déjà. 9 ans depuis que nous avons côtoyé l'horreur. Si proche, cette fois. Le choc fut donc plus rude. Ce vendredi 13 novembre 2015 a laissé des traces indélébiles pour tous les amateurs de musique live. Pourtant, à la même date, cette année, le nombre de bons concerts à Paris était pléthorique, pour ne pas dire démentiel. Imaginez vous : il y avait le choix entre les irlandais de Fontaines DC, chouchous de la scène rock actuelle au Zénith, les revenants de Mercury Rev à la Maroquinerie, François and the Atlas Mountains, pour une relecture live de leur disque de 2014, " Piano Ombre " à la Philharmonie de Paris, les nouveaux venus de Tapir! Au Pop Up du Label, la troupe suisse de l'Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp à la Marbrerie et enfin Beak>, le groupe de Geoff Barrow, ancien batteur de Portishead. Et encore, je n'ai cité que les concerts intéressants que j'avais repéré. Je suis sûr qu'il y en avait d'autres... Mais pourquoi une telle...
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