Allez, parce qu'Antony Hegarty a sorti un des meilleurs disques de ce début d'année et parce que ce live est un concert privé organisé par l'excellent site Pitchfork, voici le gros androgyne à la voix d'ange dans "Kiss My Name" : classe !
Il y a eu un tournant dans la carrière de Nick Cave : " Push The Sky Away " en 2013. Avant ce disque, le chanteur australien était cantonné aux seuls amateurs de rock indépendant ou presque. Il y a bien eu quelques percées commerciales comme celles du vénéneux et romantique " Where The Wild Roses Grow " en 1995 mais c'était surtout parce qu'il chantait en duo avec sa très iconique compatriote Kylie Minogue. En tout cas, rien qui ne suffise à le hisser au panthéon du rock, comme c'est le cas aujourd'hui. Sa musique fait aujourd'hui une quasi unanimité et surtout ses disques sont chroniqués partout, jusque dans les rares pages culture de Figaro Madame. Je ne saurais expliquer un tel phénomène. Il y a peut-être plusieurs raisons. J'en lâche ici quelques unes : la reprise dès l'an 2000 de son sublime " The Mercy Seat " par Johnny Cash, comme une validation en bonne et due forme de l'importance de sa carrière et de son influenc...
Kiss my name
RépondreSupprimerMama in the afterglow
When the grass is green with grow
And my tears have turned to snow
I’m only a child
Born upon a grave
Dancing through the stations
Calling out my name
Oh mama kiss my name
I am trying to be sane
I’m trying to kiss my friends
And when broken, make amends
Kiss my name, the curtains white
The turtle doves embroider light
As I lie, murdered in ground
The rain compacting sodden sound
Of songs I sang the years before
When it was time to rain
Upon the coal that I became