Allez, parce qu'Antony Hegarty a sorti un des meilleurs disques de ce début d'année et parce que ce live est un concert privé organisé par l'excellent site Pitchfork, voici le gros androgyne à la voix d'ange dans "Kiss My Name" : classe !
Enchaînement de concerts avec un quatrième en trois semaines. Celui-là, je l'avais coché il y a quelques temps déjà. Mais maman n'étant pas grande amatrice du groupe, je l'avais mis en " stand-by " (" Bye-Bye ..."). Et puis, il aura fallu qu'au détour d'une soirée entre parents le sujet soit mis hasardeusement sur la table pour qu'on prenne nos places, à la dernière minute ou presque. Grandaddy, c'est la période bénie de la pop américaine au mitan des années 90-2000. Avec les Flaming Lips (le groupe existait bien avant mais leurs meilleurs disques sont sortis à ce moment-là), Mercury Rev et Sparklehorse. Un quatuor pour l'éternité et au moins quatre chefs d'oeuvres de suite : " Deserter's songs " en 1998, " The Soft Bulletin " en 1999, " The Sophtware Slump " en 2000, " It's a wonderful life " en 2001. On pourrait même rajouter Wilco en 2002. Ce soir-là, au Trianon, magnifique écrin
Kiss my name
RépondreSupprimerMama in the afterglow
When the grass is green with grow
And my tears have turned to snow
I’m only a child
Born upon a grave
Dancing through the stations
Calling out my name
Oh mama kiss my name
I am trying to be sane
I’m trying to kiss my friends
And when broken, make amends
Kiss my name, the curtains white
The turtle doves embroider light
As I lie, murdered in ground
The rain compacting sodden sound
Of songs I sang the years before
When it was time to rain
Upon the coal that I became