Les nouveautés musicales se bousculent au portillon depuis quelques semaines et je n'ai malheureusement pas toujours le temps adéquat à consacrer à chacune d'entre elles. Et puis, des fois, il m'arrive aussi de passer complètement à travers. Et c'est souvent là que je fais les plus belles découvertes. Le nouvel album de Alpine Decline en fait assurément partie. Ce couple d'américains étonnamment exilés en Chine était pour moi d'illustres inconnus. Pourtant, à l'écoute de cette "Night Of The Long Knives" (référence aux heures sombres de l'histoire allemande), je me demande bien pourquoi. Leur rock oblique qui furète du côté de Sonic Youth, des Jesus and Mary Chain, de My Bloody Valentine et surtout du post-rock est pile poil dans mon créneau. Là où certains, comme les Beach Fossils, plongent un peu trop dans la facilité et l'évidence pop, Alpine Decline semble en constante recherche sonore. Non pas que leur musique est particulièrement difficile d'accès - pour qui est habitué du genre -, non, elle est juste moins directe et au final, on y revient plus souvent.
C'est par l'intermédiaire de l'excellent webzine Playlist Society regroupant le "travail" de plusieurs blogueurs passionnés aux goûts et à l'écriture particulièrement pointus, puis à la chronique du non moins recommandable Popnews que je me suis penché sur leur cas. Je ne regrette pas. Tant pis pour les nouveautés de la semaine, elles attendront. Il faut quelques fois parer au plus pressé. Allez, j'y retourne...
C'est par l'intermédiaire de l'excellent webzine Playlist Society regroupant le "travail" de plusieurs blogueurs passionnés aux goûts et à l'écriture particulièrement pointus, puis à la chronique du non moins recommandable Popnews que je me suis penché sur leur cas. Je ne regrette pas. Tant pis pour les nouveautés de la semaine, elles attendront. Il faut quelques fois parer au plus pressé. Allez, j'y retourne...
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