" Cheat codes " est un terme bien connu des amateurs de jeux vidéos dont je ne fais plus partie depuis de nombreuses années. Est-ce bien ou mal ? Je ne sais pas. C'est comme ça, ça ne veut pas forcément dire que c'est immuable. Les cheat codes, c'était quand on était bloqué dans le jeu, qu'on ne savait plus comment avancer, soit parce que ça devenait trop compliqué, soit parce que ça nous paraissait d'un coup buggé. Bien sûr, le plaisir n'était plus le même, on avait triché pour pouvoir continuer. Le rap n'a par contre jamais été ma came, vous devez le savoir, vous qui venez ici. Si vous aimez le rap, vous devez sans doute aller voir ailleurs. Car les fans de rock indépendant et de rap sont rarement les mêmes. Encore que l'époque est au brassage des genres, de plus en plus. Cet album de Danger Mouse, producteur de légende, ayant travaillé pour des groupes aussi variés que Gorillaz, Sparklehorse, Beck, The Black Keys, U2, Red Hot Chili Peppers,
Salut, parmi les bons moments de 2018 je retiens ces albums :
RépondreSupprimer- The Last Detail : The Last Detail
- Phosphorescent : C'est la vie
- Gruff Rhys : Babelsberg
- The Lemon Twigs : Go to school
- Low : Double Negative
En chanson de l'année : "I'm Desperate" de BC Camplight, grosse claque sonore !
Sylvain
Pas mal. Il y a juste le Phosphorescent que je connais moins.
SupprimerEn rock / post-punk, j'ai pas mal usé Shame (plutôt que Idles), Parquet Courts, Viagra Boys, Ought, Hot Snakes, Liminanas (Dimanche !).
RépondreSupprimerJe trouve que Kristin Hersh a été injustement ignorée alors qu'elle sort deux de ses meilleurs albums coup sur coup dans une carrière pourtant déjà longue (Wyatt at the coyote palace en 2016, Possible dust clouds, en 2018). J'avais moi-même quasiment oublié son existence avant de tomber par hasard sur Wyatt at the coyote palace.
Il y a aussi eu des morceaux marquants sortis dans des albums qui le sont un peu moins : You're so cool de Jonathan Bree, I am here de Bonny Doon, She knows des Goon Sax et Cactus de Teleman.